Quelles sont les tendances actuelles dans l’univers du thé?
Anne von Erlach : Le thé vert du Japon cartonne. Il y a aussi une forte demande pour les thés, vert et noir, du Népal. Roulé à la main, ce dernier présente des saveurs très délicates. Les bourgeons de thé blanc, récoltés une fois l’an et séchés au soleil, sont aussi très prisés des connaisseurs. Pas mal de clients achètent du pu-ehr dont les actions bénéfiques sur le cholestérol et la tension artérielle sont reconnues.
Que demandent les consommateurs ? Ont-ils des préférences ?
A.v.E : Il y a plusieurs profils de consommateurs. Ceux qui découvrent cet univers, et souvent les jeunes, optent pour des thés aromatisés aux fleurs, aux fruits, au chocolat, au caramel ou encore au biscuit. Les plus pointus vont vers des thés plus neutres, noirs ou verts.
Tiziana, Anne et Yoshiko. © DR
Quelle est la différence entre le thé en sachet que l’on trouve dans la grande distribution et le thé en vrac ?
A.v.E : Le sachet, c’est un peu le tout-venant, même si certaines marques proposent des produits plus qualitatifs. Le vrac, c’est le bourgeon ou la feuille. Le goût et les arômes n’ont rien à voir.
Comment vous approvisionnez-vous ?
A.v.E : Avec mon mari, qui m’a initiée à cet univers, nous voyageons beaucoup. Nous nous rendons régulièrement chez nos fournisseurs et producteurs directement en Chine. Nous ne sommes liés à aucune maison et totalement libres de nos choix.
Parlez-nous de vos projets pour la restauration…
A.v.E : Mes trois fils ont créé la société TEADC dans le but de proposer de la qualité vrac en sachets pour la restauration, les personnes âgées ou les patients des hôpitaux. Le conditionnement s’opère à Aclens. Nous sommes en train de faire les derniers tests avec des sachets biodégradables. Notre gamme de lancement sera bientôt en ligne sur notre site internet. Elle comprendra un English breakfast, du noir et du vert classiques, du thé parfumé, du rooibos et de l’infusion aux fruits.
Quelles sont les tendances actuelles dans l’univers du thé?
Anne von Erlach : Le thé vert du Japon cartonne. Il y a aussi une forte demande pour les thés, vert et noir, du Népal. Roulé à la main, ce dernier présente des saveurs très délicates. Les bourgeons de thé blanc, récoltés une fois l’an et séchés au soleil, sont aussi très prisés des connaisseurs. Pas mal de clients achètent du pu-ehr dont les actions bénéfiques sur le cholestérol et la tension artérielle sont reconnues.
Que demandent les consommateurs ? Ont-ils des préférences ?
A.v.E : Il y a plusieurs profils de consommateurs. Ceux qui découvrent cet univers, et souvent les jeunes, optent pour des thés aromatisés aux fleurs, aux fruits, au chocolat, au caramel ou encore au biscuit. Les plus pointus vont vers des thés plus neutres, noirs ou verts.
Quelle est la différence entre le thé en sachet que l’on trouve dans la grande distribution et le thé en vrac ?
A.v.E : Le sachet, c’est un peu le tout-venant, même si certaines marques proposent des produits plus qualitatifs. Le vrac, c’est le bourgeon ou la feuille. Le goût et les arômes n’ont rien à voir.
Comment vous approvisionnez-vous ?
A.v.E : Avec mon mari, qui m’a initiée à cet univers, nous voyageons beaucoup. Nous nous rendons régulièrement chez nos fournisseurs et producteurs directement en Chine. Nous ne sommes liés à aucune maison et totalement libres de nos choix.
Parlez-nous de vos projets pour la restauration…
A.v.E : Mes trois fils ont créé la société TEADC dans le but de proposer de la qualité vrac en sachets pour la restauration, les personnes âgées ou les patients des hôpitaux. Le conditionnement s’opère à Aclens. Nous sommes en train de faire les derniers tests avec des sachets biodégradables. Notre gamme de lancement sera bientôt en ligne sur notre site internet. Elle comprendra un English breakfast, du noir et du vert classiques, du thé parfumé, du rooibos et de l’infusion aux fruits.
Pour en savoir plus :
lecercleduthe.com
Propos recueillis par Manuella Magnin
Des cours pour s’initier
Depuis 6 ans, le Cercle du thé à Nyon se met au service des particuliers et des professionnels passionnés et de tous ceux qui souhaitent s’initier à cet univers gustatif. Burkhart, l’époux d’Anne, donne des cours à l’École-club Migros de Nyon avec Yoshiko qui a suivi l’école du thé matcha au Japon avant de rejoindre l’équipe du magasin.