“Hoi”, la bière d’Appenzell et de Côte d’Ivoire

Hoi, qui veut dire en Suisse alémanique «Salut!», en français «Coucou!» est la marque de trois nouvelles bières d’Appenzeller, en mode estival. Elles unissent la fraîcheur et la qualité de la bière appenzelloise aux fruits exotiques de la Côte d’Ivoire.  

Elles se veulent le symbole de l’exotisme à l’état pur, l’union de l’Afrique et d’Appenzell. Pétillantes et malicieuses comme les habitants d’Appenzell, ce sont les trois dernières mousses de la maison Locher. La première est à l’ananas, la deuxième aux fruits de la passion et la troisième à la mangue. 

C’est la mode des bières fruitées. Mais avec ses nouvelles Hoi, Appenzeller Bier, les bières de la maison Locher, amène un plus: l’exotisme, la qualité des fruits choisis pour les mélanges avec les nouvelles mousses et une belle aventure. L’ananas, les fruits de la passion et les mangues sont cultivés en Côte d’Ivoire. Plus naturels, on ne trouve pas. Pourquoi? Parce qu’ils sont en parfaite harmonie avec leur terre d’origine et que les ananas, les mangues et les fruits de la passion disposent d’un autre avantage: «leur facteur «d’appenzelltitude», estime-t-on chez Appenzeller Bier. 

Un Appenzellois en Afrique
C’est en effet dans les années 1970 que Johnann Dähler, un fils de paysan aux racines appenzelloises prend le chemin de l’Afrique. Il fonde une famille en Côte d’Ivoire et devient propriétaire d’immenses plantations d’ananas, comptant plus de 1500 collaborateurs. Une centaine de petits paysans de Côte d’Ivoire le considèrent aujourd’hui comme un client fidèle pour leurs ananas, leurs mangues ou leurs fruits de la passion. Dähler livre une partie de ses fruits à la Brasserie Locher. Ainsi naquit l’idée d’une bière africano-appenzelloise.

Les Appenzellois aimant savoir à qui ils ont affaire, une délégation de chez Locher a visité ses fournisseurs de Côte d’Ivoire. Ce pays favorisé par la nature, où 50% de la population est paysanne, est le premier exportateur de cacao du monde. En plus des trois excellents fruits susmentionnés, il exporte également beaucoup de café, de pétrole, de bois précieux, de caoutchouc, de coton et de bananes.

La récolte des fruits demande de nombreux efforts. Dans les plantations, on n’utilise pas la machine. L’herbe est coupée à la machette. Au pied des manguiers ou des pieds d’ananas, elle sert d’engrais organique. Plus naturel, on ne trouve pas. Dans ces conditions, Appenzeller Bier bénéficie des meilleurs ananas, mangues et fruits de la passion qu’on puisse trouver. Fruités, savoureux, sucrés et pleins d’énergie.

Ce délicieux trio fruité, vous le retrouverez dans les nouvelles adorables petites bières, les trois «Hoi» d’Appenzeller Bier.

Pascal Claivaz