Certificat de capacité de cafetier: un taux de réussite toujours aussi élevé pour la SCRHG

La Société des Cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève (SCRHG) propose des cours préparatoirs en vue de l’obtention du certificat cantonal de capacité de cafetier, restaurateur et hôtelier depuis 1946. Plus de 70 ans d’expérience dans le domaine est le gage de l’expertise de la SCRHG dans ce domaine et le taux de réussite de plus de 80 % aux examens en est la meilleure preuve.

Etre titulaire du certificat de capacité de cafetier est obligatoire pour obtenir une patente en vue d’exploiter un établissement public et nécessite pour chaque candidat de se préparer au mieux à l’examen. C’est le candidat lui-même qui doit s’inscrire à l’une des deux sessions organisées chaque année, la première en mai et la seconde en décembre, auprès du service du commerce (Scom), libre ensuite à lui de suivre une formation ou de se présenter en candidat libre. Le niveau de l’examen étant particulièrement élevé, il est bien clair que le candidat mettra toutes les chances de son côté en s’adressant à des professionnels qui l’épauleront pour obtenir le précieux sésame.

Deux formules de cours
Pour s’adapter au mieux aux contraintes de chacun, la SCRHG propose deux formules, soit des cours à plein temps du lundi au vendredi, soit des cours du soir qui offrent l’une et l’autre un cursus complet dispensé par des enseignants experts dans leur domaine et un programme adapté pour une préparation optimale à l’examen.
Au bénéfice de la reconnaissance eduQua, la qualité de la formation proposée par la SCRHG ne se dément pas au fil des ans puisque ce ne sont pas moins de 80 % des candidats qui obtiennent leur diplôme chaque année depuis 1946 et ce malgré les tentatives de divers centres ou pseudo écoles qui proposent depuis quelques temps des prétendues formations à l’examen. 
Selon Laurent Terlinchamp, président de la SCRHG: «Ces établissements sont plus à la recherche d’un filon financier et n’ont pas vraiment pour but de former de nouveaux collègues. Leurs résultats aux épreuves démontrent malheureusement que leur formation ne correspond pas aux besoins de la branche ni aux exigences de l’Etat. Nous ne pouvons pas nous en réjouir puisque les premiers à pâtir de cette situation sont bien évidemment les candidats. Ce n’est d’ailleurs certainement pas par hasard que le seul organisme de formation officiel de GastroSuisse à Genève soit celui de la SCRHG, reconnu par le département cantonal de l’instruction publique et certifié eduQua.»

Frédéric Finot